Le chapitre XII du Traité des compositions du mithridate, du thériaque, de l’orviétan et des confections d’alkermès et d’hyacinthe et autres compositions antidotoires (1665) de La Martinière est consacré au « Véritable secret du grand antidote de Rome, dit Orviétan » ( p. 47 et suiv.)
Dans sa lettre à sa fille du 10 avril 1671, Madame de Sévigné fait référence à cette scène de L’Amour médecin :
La Bretagne et la Bourgogne me paraissent des pays sous le pôle, où je ne prends aucun intérêt : il faut dire comme Coulanges : O grande puissance de mon orviétan !