L’emploi du terme « ouverture » au sens moral est nouveau, si l’on en croit les Entretiens d’Ariste et d’Eugène (1671) de Dominique Bouhours (1).
On le relève entre autres dans les Réflexions ou Sentences et Maximes morales (1ère éd. 1665) de La Rochefoucauld (2).
(1)
Donner des ouvertures à quelqu’un dans une affaire. Il a de grandes ouvertures pour les sciences.
( p. 103)
(2)
La sincérité est une naturelle ouverture de coeur, on la trouve en fort peu de gens […].
( LXXI)