François Le Métel de Boisrobert, protecteur des poètes, explique qu’il avait été surnommé par Richelieu « Solliciteur des Muses incommodées » (« Avis » mis en tête des Epîtres en vers et autres oeuvres poétiques):
[Gombaut] se souvient de ce siècle heureux où le grand Richelieu honorait tous les gens de lettres de sa protection et de son amitié. Il se souvient de l’agréable qualité qu’il me donnait dans son académie de campagne*, d’ardent Solliciteur des Muses incommodées.
– Il nommait ainsi une société de quatre ou cinq de ses plus familiers.
(Augustin Courbé, 1659, n.p.)