Le même vers figurait
– dans le Don Bertrand de Cigaral (1652) de Thomas Corneille :
Madame, si l’on cache à ma débile vue
Les célestes attraits dont vous êtes pourvue
L’on connaît que l’éclat n’en peut être souffert.
( I, 6)
– dans la Florimonde (1655) de Jean Rotrou :
Je restrignis mes voeux, à l’espoir de la vue
Des célestes attraits dont vous êtes pourvue.
(I, 3, p. 10)