Un passage de la troisième partie du Grand Cyrus (1649-1653) des Scudéry évoque la jalousie en termes de possession :
Cependant la connaissance de ces erreurs ne guérit pas l’esprit de ceux qui en sont capables : et la jalousie enfin a quelque chose qui tient bien plus du sortilège, de l’enchantement, et de la magie, que d’une simple passion.
(Grand Cyrus, III, 1, p. 1691-1692)