L’expression était prisée des burlesques.
Elle était favorite, en particulier, de Thomas Corneille, qui l’utilise dans :
– Le Geôlier de soi-même (1656) :
Vous êtes un infant mal nourri, mais n’importe,
J’en connais l’enclouure.
(V, 6, p. 86)
– Don Bertrand de Cigaral (1652) :
Vous savez fort bien où lui tient l’enclouure.
(III, 10)