Le poison qui me tue

« Oui, oui, je l’ai perdu, lorsque dans votre vue
J’ai pris, pour mon malheur, le poison qui me tue »
Le Misanthrope, IV, 3, v. 1317-1318

 

« Oui, oui, je l’ai perdu, lorsque dans votre vue,
J’ai pris pour mon malheur le poison qui me tue »
Don Garcie de Navarre, II, 5, v. 552-553

Ce lieu commun du discours galant est relevé par Furetière dans son dictionnaire :

Un amoureux dit qu’il a pris un subtil poison dans les yeux de sa maistresse.
(entrée « poison »)

 

La Princesse d’Elide, découvrant l’amour, évoquera également « ce poison qui me court par toutes les veines ».

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