Dans le tome V du Recueil de pièces en prose les plus agréables de ce temps, paru en 1663, figure une maxime d’amour dont la structure est similaire :
Silvandre dans l’incertitude
Quelle il aimerait mieux, la coquette ou la prude,
Et ne pouvant enfin se résoudre à choisir,
Me demanda quelle victoire
Serait plus selon mon désir.
Voulez-vous, lui dis-je, me croire ?
La prude donne plus de gloire,
La coquette plus de plaisir
( p. 388)