Cette comédie imprimée, fréquemment utilisée par les comédiens dell’arte, offre une version de la séquence du « faux aubergiste allemand », développée dans les scènes V, 3-6 de L’Etourdi.
Pour une analyse des rapports entre La tarbernaria et L’Etourdi, voir C. Bourqui, Les Sources de Molière, Paris, SEDES, 1999, p. 80-81.
Une rencontre précise entre les deux textes est signalée ci-dessous :