Le droit du sage à pleurer était défendu par Epicure, ainsi que le rapporte Diogène Laerce dans ses Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres :
Quoiqu’un sage soit à la gêne, il est néanmoins toujours heureux ; que ce bonheur ne l’empêche pas de se plaindre et même de pleurer.
(Diogène Laerce. De la vie des philosophes. Traduction nouvelle par Monsieur B…, Paris, René Guignard, 1668, p. 831).