La bouche vermeille

« […]Tartuffe? Il se porte à merveille,
Gros, et gras, le teint frais, et la bouche vermeille. »
Le Tartuffe, I, 4 (v. 233-234)

La formule se trouvait déjà dans le premier quatrain d’un sonnet de Saint-Amant, publié dans les Oeuvres de 1661 :

Me voyant plus frisé qu’un gros comte allemand
Le teint frais, les yeux doux et la bouche vermeille.
( p. 190) (1)

(1) source : G. Hall, Comedy in Context : Essays on Molière, University Press of Mississippi, 1984, p. 144

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