La formule rappelle un vers célèbre du Livre IV de l’Enéide de Virgile (1), dont l’abbé de Marolles avait fourni une traduction en 1662 :
Improbe amor, quid non mortalia pectora cogis
Cruel amour, à quoi ne forces-tu point le coeur des mortels ?
(L’Enéide de Virgile en latin et en français, par M. de Marolles, abbé de Villeloin, G. de Luyne, 1662, 1e partie, livre IV, p. 148)
Quid non mortalia pectora cogis
Auri sacra fames
O exécrable faim de l’or, jusques où ne forces-tu point de se porter le coeur des hommes !
(Ibid., III, 56, p. 92)