Dans Le Festin de pierre de Dorimond, le père demande à son fils de s’amender dans des termes proches :
Non, non, proche du gouffre où tu te précipites,
Je veux te faire voir quels tourments tu mérites,
Te dessiller les yeux, et te prier, mon fils,
De ne te perdre pas, de suivre mes avis.
Un père à tes genoux t’en prie avec des larmes.
Il se met à genoux.
Que ton coeur s’amollisse et lui rende les armes :
Si tant de fierté règne en ton coupable sein,
Qu’à ton père à genoux tu sois tant inhumain,
Si tu n’écoutes point ton père et la nature,
Pense que c’est, mon fils, le Ciel qui t’en conjure.
(I, 5)