Dans un passage de la troisième partie de la Clélie (1657) des Scudéry était affirmée la nécessité, pour l’amant, d’être « complaisant » à sa maîtresse :
Du moins faut-il que vous avouiez, dit Plotine, qu’en amour la complaisance ne saurait être excessive, que plus un amant est complaisant, plus il est aimable.
( p. 737)