Un jeu de scène semblable était mis en oeuvre dans le spectacle italien du Gentilhomme campagnard, joué à partir de janvier 1670, si l’on en croit les notes de l’Arlequin Biancolelli (voir également « en garde, Monsieur, en garde ») :
Trivelin veut attendre Eularia, je lui dis d’attendre que je sois habillé. Mes valets arrivent, ils m’habillent tout en l’air et en faisant des culbutes.
(éd. D. Gambelli, Arlecchino a Parigi. Lo scenario di Domenico Biancolelli, Rome, Bulzoni, 1993, t. II, p. 509)