Un trait d’esprit semblable était formulé dans la Troisième Partie (1632) de l’Astrée :
or celle-ci est une des plus grandes folies du monde, les parents nous veulent choisir des maris et nous sommes si sottes que nous les laissons faire ; cela serait bon si c’était eux qui les dussent épouser.
(III, p. 407)(source : G. Hainsworth, « Traces of d’Urfé and of Balzac in Molière », Modern Language Review 24 (1929))