Le même comportement est mis au compte des dévots dans la satire intitulée « Macette » de Mathurin Régnier (Satires, 1609; réédition en 1667) :
C’est entre les dévots un étrange commerce,
Un trafic par lequel, au joli temps qui court,
Toute affaire fâcheuse est facile à la cour.
(« Satire XIII », éd. de 1667, p. 100)