La même rime avait été utilisée dans
– la Lucrèce (1638) de Du Ryer :
Mais la seule vertu, dont elle est idolâtre,
Est en toute saison son bal et son théâtre.
(I, 2)
– Les Songes des hommes éveillés (1646) de Brosse :
Mais la seule vertu, dont elle est idolâtre,
Est en toute saison son bal et son théâtre
(V, 2)
– Le Véritable Saint-Genest (1647) :
Rendront de leurs beautez vostre oreille idolâtre,
Et sont aujourd’huy l’âme et l’amour du théâtre.
(I, 5)
Je crains plus que la mort cette engeance idolâtre,
De Lutins importuns, qu’engendre le théâtre (II, 3).
– La Précieuse (1656-1658) de De Pure :
De vos inimitables vers,
Toute la terre est idolâtre,
Et pour tant de travaux si grands et si divers,
Il semble que tout l’univers,
Ne soit qu’un trop petit théâtre.
(IV, p. 177)