Le même souci d’éviter le « discord » était exprimé dans L’Art de peinture traduit en français (1668) de Dufresnoy :
Il faut suivre en toutes choses l’ordre de la nature. C’est pourquoi vous vous garderez bien de peindre les nuées, les vents et les tonnerres dans les lambris qui sont près des pieds, et l’enfer ou les eaux dans les plafonds. Vous ne ferez pas aussi porter sur une perche un colosse de pierre : mais que toute chose soit dans la place qui lui est convenable.
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