Dans le dialogue « Du retour des esprits » dans L’Esprit de cour (1662) de René Bary, les propos de l’esprit fort Polymaque sont combattus en lui opposant la condamnation suivante :
Ceux qui croient qu’il n’y a ni enfer ni paradis confondent l’âme des hommes avec l’âme des bêtes et détruisent le fondement de toutes les religions.
( p. 145)