Le rapt d’une religieuse, considéré comme un des péchés les plus graves (voir « l’obstacle sacré d’un couvent ») est également punissable par la loi, ainsi que l’établit la « Déclaration sur les formalités du mariage, les qualités requises, le crime de rapt, etc. » (Isambert et Taillandier, Recueil général des anciennes lois françaises, 1829, t. XVI, p. 523).