Le même lazzo est décrit dans les notes de l’Arlequin Biancolelli, traduites par Gueulette au siècle suivant, à propos de deux spectacles joués au Théâtre italien dans les années 1660 :
– « Arlequin–larron-prevôt-et-juge / Arlecchino ladro, sbirro e giudice » :
Je fais appeler Eularia, qui est en prison; je fais avec elle le lazzi de la chaise que j’approche à mesure qu’elle recule.
(éd. D. Gambelli, Arlecchino a Parigi. Lo scenario di Domenico Biancolelli, Rome, Bulzoni, 1993, t. II, p. 364)
– « Le-Maitre-valet / Il servo padrone » :
Je fais asseoir Eularia et je fais le lazzi d’avancer mon fauteuil à mesure qu’elle recule le sien et de mettre les jambes sur les bras de son fauteuil ; elle me donne un soufflet et sort en disant que je suis un insolent.
(ibid., p. 383)