« D’un objet odieux je sais que tout déplaît »
La Princesse d’Elide, I, 4, v. 279
Une idée proche est formulée dans un recueil de maximes d’amour paru en 1666 :
L’amour d’autrui nous fatigue et nous déplait quand nous n’aimons point.
(Maximes d’amour, C. Barbin, 1666, p. 80)
Le plus grand crime d’un amant qui déplait est son amour.
(Ibid., p. 80)