La seconde édition de ce Dialogue, dont on ignore la date de première édition, est publiée dans un recueil composé de
– Pigmalion ou la statue animée, Londres, Samuel Harding, 1751, La Chambre de justice de l’Amour, s.l. n.d.
– Lettre d’Ariste à Cléonte contenant l’Apologie de l’histoire du temps ou la défense du royaume de coquetterie, avec Le Royaume de coquetterie, revu et corrigé par l’auteur, Paris, Pierre Bienfait, 1660
– La Politique des coquettes, histoire véritable dédiée à Mademoiselle de Scudéry, Paris, Jean Ribou, 1660
– Dialogue de la Mode et de la Nature, Seconde édition, [date arrachée, 1662].
Dans ce dialogue de 60 pages (précédé d’un texte de « L’imprimeur aux lecteurs », 6 pages) la Nature, d’abord fermement opposée à sa jeune rivale la Mode, se range peu à peu aux arguments de cette dernière, et finit par s’entendre avec elle. Ce texte permet de comprendre le point de vue mondain à l’égard de la mode.
Lien vers diverses occurrences dans L’Ecole des maris :
à la mode il faut m’assujettir
suivre ce que l’usage y fait de changement
fuir obstinément ce que suit tout le monde
jeter mon âge au nez