De si rares honneurs ne m’appartiennent pas

Cessez, cessez pour moi tous vos chants d’allégresse:
De si rares honneurs ne m’appartiennent pas,
Et l’hommage qu’ici votre bonté m’adresse
Doit être réservée pour de plus doux appas.
Psyché, Prologue, vv. 57-60.

Une explication comparable était formulée dans la Psiche (1654) de Francesco Poggio :

Hor qui regna colei,
Che in faccia a me sacrilega, e rubella,
Ogn’hor s’usurpa i sacrifij miei.
Dunque femina vile
Perchè creduta è bella,
Hà da goder la Monarchia de’ Cori,
Fatta Dea de gl’Amori ?
Per me più non s’accende
Odor sabeo sù i desolati Altari ;
Mentre a Psiche si attende,
Non è chi venerar Venere impari ;
Ella sola, e non io,
Hà tutto quell’honor, che pure è mio.
(I, 2)

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