L’usage d’une machine ouvrant une coquille avait agrémenté les ballets suivants des années 1650 :
– le « Ballet Royal de la Nuit » (1653)
Quatre monstres marins sortent de quatre coquilles de limaçons et sont enlevés en l’air.
(Troisième Partie, VIIIe entrée, p. 43)
– le « Ballet des Noces de Pélée et Thétis » (1654)
Thétis paraît sur une grande coquille conduite par un demi-dieu marin.
(I, 2, p. 15).