Des « changements de figure » étaient mis en oeuvre dans la pièce à machines Rosaure impératrice de Constantinople, jouée par les comédiens du Théâtre italien au Petit-Bourbon en 1658 :
Il voit paraître un lion, qui, étant frappé sur le champ de la main du comte, se transforme en Rosaure, et après en une touffe d’arbres.
(Acte second, reproduction de l’Argument de 1658 dans L’Histoire du théâtre français (1753) des Frères Parfaict, p. 43)