Cette perte m’est très sensible

« Elle est morte, Monsieur mon ami. Cette perte m’est très sensible, et je ne puis m’en ressouvenir sans pleurer. »
L’Amour médecin, I, 1

Dans le dialogue comique La Querelle de Tabarin et de Francisquine (1621), Tabarin avait lui aussi la « larme à l’oeil » en se remémorant sa première femme disparue :

Hé ! de par Dieu, je sais trop bien qu’en vaut l’aune, en l’année mille six cent quinze, pour avoir découché d’auprès des côtes de la feue bragardissime Culotte, ma première femme : de quoi je ne saurais parler que je n’aie la larme à l’oeil, car je vous assure que je l’aimais plus qu’une truie ne fait la merde.
( p. 403)

Le moteur de recherche fonctionne par co-occurence, par exemple, la saisie femmes superstition, affichera uniquement les fiches qui comportent les deux termes, et non toutes les pages qui comportent chacun des termes.