Le Festin de pierre de Dorimond, Le Festin de pierre de Villiers et les Notes de Biancolelli sur le Festin de pierre présentent, à la sc. IV, 2, Don Juan et son valet échappés d’un naufrage. Dans les deux comédies françaises, le péril de mort amène le héros à se repentir de ses forfaits l’espace d’un instant.
Une péripétie semblable figurait également dans la Rosaure impératrice de Constantinople, comédie italienne à grand spectacle jouée au Petit-Bourbon en 1658 :
Ici la scène se change en une mer sur laquelle le comte et son valet, ayant aperçu un vaisseau, ils entrent dedans, et tout aussitôt la mer grossit et l’air se trouble à tel point que dans les agitations des vents et l’élévation des flots, ce vaisseau disparaît avec le comte et son valet Scaramouche.
(Acte second, reproduction de l’Argument de 1658 dans L’Histoire du théâtre français (1753) des Frères Parfaict, p. 44)