Ce comportement était attribué par Dufresnoy dans L’Art de peinture traduit en français aux grands peintres :
La peinture […] ne se plaît pas non plus dans l’embarras des affaires ni dans les procès, mais dans la liberté du célibat. Elle s’éloigne autant qu’elle peut du bruit et du tumulte, pour jouir du repos de la campagne : parce que dans le silence on est plus disposé à s’appliquer fortement au travail et à produire des idées qui demeurent toujours présentes jusqu’à la fin de l’ouvrage, dont on embrasse le tout ensemble plus commodément.
( p. 48)