Les idées de Mascarille sur l’énigme corespondent à celles de son principal promoteur au XVIIe siècle, l’abbé Charles Cotin :
La plus parfaite définition [de l’Enigme] serait à mon avis celle-ci. L’Enigme est un discours obscur de choses claires et connues, lequel on donne à expliquer pour l’exercice et le divertissement de l’esprit.
(« Discours sur les Enigmes » dans « Les Enigmes de ce temps », Oeuvres mêlées [1659], éd. Florence Vuillemier-Laurens, S.T.F.M., 2003, p. 25).
La fin que l’Enigme se propose […] est l’exercice de l’esprit sans le beaucoup travailler.
(ibid., p. 26)