Au chapitre XXV du Prince de Machiavel, la fortune est comparée à un « fleuve impétueux » :
E assomiglio quella a uno di questi fiumi rovinosi che, quando s’adirano, allagano e piani, ruinano gli alberi e gli edifizii, lievano da questa parte terreno, pongono da quell’altra
La fortune se peut comparer à un fleuve impétueux et ravissant, lequel, lorsqu’il est enflé et débordé, submerge les grandes plaines, arrache des arbres et ruine les édifices, enlève d’un endroit les gros monceaux de terre pour les transporter en un autre.
(trad. de 1640, p. 127)