« Madame, ce m’est une gloire bien grande de me voir assez fortuné pour être si heureux que d’avoir le bonheur que vous ayez eu la bonté de m’accorder la grâce de me faire l’honneur de m’honorer de la faveur de votre présence » Le Bourgeois gentilhomme, III, 16
Dans son traité Du Bon et du mauvais usage dans les manières de s’exprimer (1693), François de Callières observe que la construction « ce m’est une gloire » est mauvaise, et qu’il faut dire plutôt, « c’est pour moi une grande gloire » ( p.200).
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