L’expression compte parmi celles qui caractérisent le patois imité dans Le Pédant joué (1654) de Cyrano de Bergerac :
Vien-ça, ce me fit-il une fois, gros fils du Putain, car j’esquions tout comme deux frères ; Je veux, ce fit-il, que tu venais, ce fit-il, autour de moi, ce fit-il, dans la Turquise, ce me fit-il. O! ce l’y fis-je, cela vous plaît à dire, Non est, ce me fit-il. O! si est, ce l’y fis-je. O! ce me fis-je à par moy.
(II, 2, p. 35)