L’expression figure également
– dans l’essai « De la vanité »( III, 9) de Montaigne (1592)(1)
– dans Le Morfondu (I, 2) de Pierre de Larivey (1597)(2)
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(1)
Platon dit que qui échappe braies nettes du maniement du monde, c’est par miracle qu’il en échappe.
(éd. Journel, Paris, 1659)
(2)
[…] la colère, le dédain, et l’amour, occasionnés, par une maudite et sanglante avarice m’ont poussé en un tel labyrinthe, que si Dieu ne m’aide, je ne suis pour en sortir mes braies nettes.
(Les Comédies facétieuses, Lyon, Benoist Rigaud, 1597, p. 315.)