L’Art de peinture traduit en français (1668) de Dufresnoy faisait la même observation :
Les bords étant chargés d’ouvrage fort et pétillant, ils attirent les yeux qui sont comme en inquiétude de ne voir pas une continuité de cet ouvrage, qui est tout d’un coup interrompu par les bords du tableau ; au lieu que ces bords étant légers d’ouvrages, l’oeil demeure au centre du tableau et l’embrasse plus agréablement:
( p. 124)