Les mêmes considérations étaient formulées dans L’Art de peinture traduit en français de Dufresnoy :
Que les draperies soient jetées noblement, que les plis en soient amples, et qu’ils suivent l’ordre des parties, les faisant voir dessous par le moyen des lumières et des ombres ; encore que ces parties soient souvent traversées par le coulant des plis qui flottent à l’entour, sans y être trop adhérents et collés, mais qu’ils les marquent en les flattant par la discrétion des ombres et des clairs.
( p. 20)