De telles répétition étaient une des caractéristiques du patois imité dans Le Pédant joué (1654) de Cyrano de Bergerac :
Pourtant, je paraissy un sot basquié, un sot basquié je paraissy.
(II, 2, p. 35)
Molière utilisera à nouveau le procédé dans Le Bourgeois gentilhomme (« fort envie de rire nous avons »)