L’agressivité que manifestent les faux dévots, lorsqu’on dévoile leur hypocrisie, était dénoncée dans la « Satire première » de Du Lorens :
Si l’un de ces cafards, se prétendant blessé,
Encor qu’en lui je n’eusse nullement pensé,
Pour en avoir raison m’allait faire une instance,
Ce serait me livrer une mauvaise chance.
Je ne veux voir chez moi ni diables ni sergents.