Un jeu de scène analogue de « cérémonial » de bastonnade est décrit dans les notes personnelles de l’Arlequin Biancolelli, à propos du spectacle « Les Deux Arlequins », joué en 1668 :
Trivelin fait avec moi la scène du cérémonial pour les coups de bâton et, sous prétexte de m’enseigner la façon d’en donner, en observant de certaines cérémonies qui vous exemptent d’être repris de justice, il me rosse.
(« Li dui Arlechini », éd. D. Gambelli, Arlecchino a Parigi. Lo scenario di Domenico Biancolelli, Rome, Bulzoni, 1993, t. I, p. 259)