Dans Andromède de Pierre Corneille, Eole adressait des propos similaires à Phinée :
ÉOLE, au milieu de l’air.
Téméraire mortel, n’en dis pas davantage;
Tu n’obliges que trop les dieux à te haïr :
Quoi que pense attenter l’orgueil de ton courage
Ils ont trop de moyens de se faire obéir.
Connais-moi pour ton infortune;
Je suis Éole roi des vents.
Partez, mes orageux suivants,
Faites ce qu’ordonne Neptune.
(II, 5)