A ne B

« Et je veux, si jamais on engage ma foi,
Un mari qui n’ait point d’autre livre que moi;
Qui ne sache A, ne B, n’en déplaise à Madame, »
Les Femmes savantes, V, 3 (v. 1665-1668)

L’usage du double « ne », qu’on retrouve par exemple dans l’expression « ne plus ne moins », est condamné dans les Remarques de Vaugelas ( p. 36) (voir également « en chaise »).

Le moteur de recherche fonctionne par co-occurence, par exemple, la saisie femmes superstition, affichera uniquement les fiches qui comportent les deux termes, et non toutes les pages qui comportent chacun des termes.