Ce trait stéréotypé du comportement hypocrite en matière de dévotion figurait dans la « Satire première » (1646) de Du Lorens, où il rimait avec le terme « doux »:
Mais sur tous je hais ceux dont le semblant est doux
Qui n’entendent jamais la messe qu’à genoux,
S’ils parlent, c’est de Dieu, de sa bonté suprême,
De se mortifier, renoncer à soi-même.