La même plaisanterie figurait à la même époque au répertoire des Italiens de Paris, ainsi que l’attestent les notes de l’Arlequin Biancolelli, pour le spectacle de « la-Zerla / La hotte », :
Savez-vous comment s’accorde le relatif avec le substantif, le nominatif avec le verbe ? – Ma foi, réponds-je, qu’ils s’accordent ou qu’ils se battent, je ne m’embarrasse guère.
( éd. D. Gambelli, Arlecchino a Parigi. Lo scenario di Domenico Biancolelli, Rome, Bulzoni, 1993, t. II, p. 199)