Les propos de Vadius font écho à un précepte d’Epicure rapporté par Diogene Laerce (Vie d’Epicure) :
qu’il lira quelque chose devant le peuple, mais après en avoir été prié.
(X, 121, Diogène Laerce. De la vie des philosophes, 1668, p. 833)
qu’il parlera en public, si tant est qu’on l’y emploie.
(« Vie d’Epicure », Les Six Livres de Lucrèce, traduits par Michel de Marolles, 1659, p. 375)