L’attitude que Cléante attribue à Trissotin correspond à celle du sot qu’évoque la satire II de Boileau (1666) :
Un sot en écrivant fait tout avec plaisir,
Il n’a point en ses vers l’embarras de choisir,
Et toujours amoureux de ce qu’il vient d’écrire,
Ravi d’étonnement, en soi-même il s’admire.
( p. 16)