Au dernier acte d’Héraclius (1647) de Pierre Corneille, Héraclius s’adressait à Pulchérie en ces termes :
Et mon coeur, qui sans cesse en sa faveur se flatte,
Cherche qui le soutienne, et non pas qui l’abatte :
Il demande secours pour mes sens étonnés,
Et non le coup mortel dont vous m’assassinez.
(V, 2, p. 102)