Armande fait allusion au principe moral qui veut qu’on ne puisse faire le choix de son conjoint « sans le consentement de ceux dont nous tenons le jour ».
« Eh doucement, ma soeur. Où donc est la morale […] ?
– Mais vous qui m’en parlez, où la pratiquez-vous,
De répondre à l’amour que l’on vous fait paraître,
Sans le congé de ceux qui vous ont donné l’être?
Sachez que le devoir vous soumet à leurs lois,
Qu’il ne vous est permis d’aimer que par leur choix,
Qu’ils ont sur votre coeur l’autorité suprême,
Et qu’il est criminel d’en disposer vous-même. »
Les Femmes savantes, I, 2, v. 157-167
Armande fait allusion au principe moral qui veut qu’on ne puisse faire le choix de son conjoint « sans le consentement de ceux dont nous tenons le jour ».
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