Le passage du statut d’amant à celui de mari est commenté de la façon suivante dans L’Ecole des filles en dialogues :
Ce qui plait d’ordinaire dans un amant ne sert guère à faire un bon mari, et […] ces deux conditions se trouvent tellement différentes qu’il est rare de trouver une personne qui réussisse également dans toutes les deux, principalement parmi les hommes qui ne sont pas de la cour.
(L’Ecole des filles en dialogues, Paris, Louis Chamhoudry, et se vendant à Avignon, chez Antoine Duperier, [1659]1672, Dialogue premier : Parthénie, ou la fille à marier, p.93)