L’expression avait servi dans les « Lettres de Babet », recueillies dans les Lettres de respect, d’obligation et d’amour (1669) de Boursault, où elle rendait compte, comme dans Le Festin de pierre (« ni biau ni honneste »), de l’émotion éprouvée par la femme trompée :
Savez-vous bien, Monsieur, que votre procédé n’est ni beau ni honnête et que si je vous croyais prodigue des tendresses que vous me devez, je serais plus avare que je ne le suis de celles que j’ai pour vous ?
( p. 150)